Facebook n’est pas très utilisé par les marques B2B malgré les nombreux efforts qu’elles entreprennent pour assurer le développement de leur stratégie de contenus. D’où la raison pour ces dernières d’investir massivement sur ce réseau social.
Les avis des différents marketeurs concernant l’utilisation de Facebook se rapprochent tous. Selon eux, si par exemple vous êtes dans la production de matériels électroniques, vous perdez votre temps à concevoir et à promouvoir du contenu sur cette plateforme sociale. Pourtant, il est difficile de croire à l’idée que les ingénieurs, les marketeurs, les responsables informatiques ou les DSI ne soient pas présents sur Facebook.
Une utilisation très floue
Les frontières entre la vie personnelle et professionnelle sont devenues très floues. D’ailleurs, aucun d’entre nous, n’exploite totalement son cerveau quand vient la nuit. Comme l’en témoignent les multiples incitations médiatiques qui nous encouragent à pratiquer une « digital detox » pour se déconnecter complètement d’internet.
D’autre part, on note également que les outils de collaboration et de communication se sont inspirés des pratiques des plateformes sociales, car elles répondaient à un besoin : une information et une communication privée, instantanée, rapide, synchrone et courte. Il en résulte alors la suppression des frontières entre les outils professionnels de communication et de collaboration avec ceux qui étaient destinés à une utilisation grand public à l’origine.
Quelques conseils essentiels à suivre
Tout d’abord, il est essentiel de veiller à ce que les contenus diffusés sur Facebook aient un intérêt pour vos partenaires, clients et prospects. D’ailleurs, le meilleur exemple de campagne est celle menée par Tableau.
Cette entreprise propose une interface pour découvrir vos datas via la data visualisation. Après le téléchargement de la version d’essai de leur programme, vous serez automatiquement redirigé sur Facebook où des tutoriaux vous sont offerts, et où l’on vous encourage à rejoindre la communauté de la marque. En clair, la question à se poser n’est pas de savoir si le réseau social est bon pour vous, mais plutôt l’inverse.